Description
À l’aube du XXIe siècle, soutenir que le continent noir est mal en point revient à attester la réalité selon laquelle l’Afrique noire occupe souvent la première place des événements dramatiques. Quotidiennement, l’Afrique fait la manchette de sujets à grande sensation tels que la sécheresse, la pauvreté, la corruption, le ravage de guerres, les conflits ethniques ou régionaux, la dévastation par catastrophes naturelles ou par diverses maladies : Sida, Malaria, Paludisme…
Certes, depuis des siècles, des thèses européennes diagnostiquant les causes de ce drame ont été largement répandues dans la littérature de tout genre. Cependant, force est de constater que toutes les solutions élaborées en marge de ces thèses ont échouées.
Ces échecs répétés obligent aujourd’hui à se demander s’il n’existe pas d’hypothèses passées sous silence sur l’origine du drame africain, ni d’explications non dévoilées sur les principaux facteurs responsables de ses réalités désastreuses non plus que d’approches, jusqu’à présent négligées ou écartées, mais porteuses de solutions véritables au problème de sombrement du continent noir dans des dérives.
Voici un regard sur le présent sous l’angle du passé ; un retour dans le passé pour appréhender la réalité du présent. Sinon, un voyage qui part du présent vers le passé à la recherche de données concrètes à même de valider ces hypothèses, éclairer le côté obscur du problème africain, fonder la plausibilité de ces explications, voire justifier l’intégration de ces approches.
Bon voyage !